RENCONTRE ET VENTE-DÉDICACE AVEC EMMANUEL CORTEZ

Après une carrière riche et accomplie en tant qu’entrepreneur dans l’univers des vêtements de sport, Emmanuel Cortez a décidé d'écrire un livre pour relever un nouveau défi.

 

La cinquantaine approchant, ses deux enfants ayant quitté le domicile il a voulu se prouver à lui-même qu’il était capable d’explorer de nouveaux horizons et il a eu tout simplement envie d’écrire. Son premier roman « Les fils qui nous relient » aborde le thème passionnant de l’inné et de l’acquis.

 

« J’ai pris plaisir dans les différentes étapes de recherche documentaire, d’approfondissement des concepts et dans l’écriture de l’histoire à travers les personnages » précise-t-il. Et d’ajouter « le récit commence avec deux personnages que tout oppose mais qui vont s’unir pour donner la vie : une jeune paysanne rwandaise et un officier français aristocratique. De leur brève passion naîtra un jeune homme métissé, élevé au Rwanda par une jeune mère célibataire. Il partira en France pour retrouver son père ».

 

Cette histoire s’inspire du parcours de vie de son ami chapelain Valentin Savourel, né au Rwanda et adopté en France.

 

Ce roman est vendu au profit de l’association « 1 000 collines ». Les ventes ont déjà permis de récolter 8 000 euros qui serviront à la rénovation d’une école au Rwanda.

 

Fort du succès de ce premier ouvrage, Emmanuel Cortez travaille sur un second roman polar sur les violences faites aux femmes et la vengeance comme thérapie quand la justice faillit à sa mission.